Des virus informatiques bientôt au service de la police

Manquait plus que ça…

Spywares et autres Chevaux de Troie deviendront sans doute bientôt de nouvelles armes policières pour surveiller des suspects. Le projet de loi devrait être présenté début 2008.
Successeur logique des écoutes téléphoniques, la surveillance des activités informatiques va probablement se mettre en place en France. Révélée par Le Figaro, l’information a été confirmée par l’AFP. Le projet sera inclus dans la deuxième mouture de la loi d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure (appelée lopsi 2).

Concrètement, la police pourrait envoyer des e-mails piégés au suspect, entreprise ou particulier, provoquant l’installation d’un mouchard dans l’ordinateur. La technique est donc celle des Troyens, une catégorie de virus informatiques appréciée et mise au point depuis longtemps par les pirates du Web. Plus classiquement, les policiers pourraient aussi s’introduire dans les locaux et placer un dispositif physique à l’intérieur des micros. La Cnil (Commission nationale de l’informatique et des libertés) sera saisie de l’affaire et son rôle sera sans doute de poser quelques garde-fous à ce projet, qui ne concernerait que les délits les plus graves (affaires criminelles, pédophilie…).

Les connexions informatiques, avec le courrier électronique et les logiciels de téléphonie comme Skype, causent bien des soucis aux forces de police. L’Autriche a autorisé cette année ces écoutes d’un nouveau genre et la police allemande souhaiterait en disposer aussi.

Reste le barrage dressé par les logiciels antivirus et pare-feu, justement conçus pour empêcher ces intrusions. Ce problème n’est pas encore résolu. Des accords avec les éditeurs de ces logiciels sont possibles, qui laisseraient une porte ouverte pour les virus policiers. Mais comment éviter que des programmeurs ne mettent en ligne des outils qui bloqueraient aussi ces mouchards légaux ? A l’inverse, ces outils lancés par la police ne risquent-ils pas d’être détournés et utilisés par de vrais pirates qui tiendraient là des virus redoutables ?

Voilà un bon sujet de débat pour l’année prochaine…

Est il possible d’échapper à Google ?

Ca y est , après juste une semaine, sans avoir fait aucune référence nulle part à notre site, nous sommes découvert 👿

Pas encore référencé, mais connu de google.

Taper “notrefumier” dans google et vous tomberez dans le site qui nous trahi : l’afnic.

J’ai l’impression que c’est comme pour un mariage, quand tu prends un nom de domaine en fr l’afnic publie “les bancs” sur cette page qui est bien sur visitée par Google. 🙁

Je vais surveiller les logs pour voir si les robots de google nous visitent.

Commander une pizza (dans un avenir trop proche…)

Carte Nationale d’identité avec un numéro unique et fichiers croisés …
AU SECOURS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

– Standardiste : “Speed-Pizza, bonjour.”

– Client : “Bonjour, je souhaite passer une commande.”

– Standardiste : “Puis-je avoir votre NIN, monsieur?”

– Client : “Mon numéro d’identification national, oui, un instant, voila, c’est le 6102049998-45-54610.”

– Standardiste : “Je me présente. Je suis Habiba, merci M. Jacques Lavoie. Donc, nous allons actualiser votre fiche, votre adresse est bien le : 174 avenue de Villiers à Carcassonne, et votre numéro de téléphone le 04 68 69 69 69. Votre numéro de téléphone professionnel à la Société Durand est le 04 72 25 55 41 et votre numéro de téléphone mobile le 06 06 05 05 01. C’est bien ça?

– Client (timidement): “Oui!!”

– Standardiste : “Je vois que vous appelez d’un autre numéro qui correspond au domicile de Mlle Isabelle Denoix, qui est votre assistante technique. Sachant qu’il est 23h30 et que vous êtes en RTT, nous ne pourrons vous livrer au domicile de Mlle Denoix que si vous nous envoyez un XMS à partir de votre portable en précisant le code suivant : AZ25/JkPp+88**”

– Client : “Bon, je le fais, mais d’où sortez-vous toutes ces informations?

– Standardiste : “Nous sommes connectés au “système croisé”, Monsieur.”

– Client (Soupir): “Ah bon ! Je voudrais deux de vos pizzas spéciales mexicaines.”

– Standardiste : “Je ne pense pas que ce soit une bonne idée, Monsieur.”

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