Il était une fois un maire, André Aschieri, et un architecte, Pierre Fauroux, qui avaient fait un rêve …
Entre l’article signé par Jean-Pierre Largillet dans Nice-Matin le 14 juillet 1994 et l’article de Christophe Belleuvre, dans ce même quotidien le 21 février dernier, 14 ans ont passé et rien, pas un mot, pas une ligne, un silence étourdissant
…
Comme quoi, la politique permet de tout faire sans conséquences immédiates …