Chronique-de-Cécile-Ladjali-01.03.20a (durée 3 m)
C’est assez amusant de l’entendre dire que nos contemporain recherche le divin, comme si il pouvait leur manquer! Car cela sous entend qu’il existe et qu’il nous est indispensble. Alors que le sport est plutot la sublimation de notre violence. Moins sublimé que la peinture ou la musique mais c’est déjà de la violence redirigée et contenue pour la rendre socialement acceptable. Après plus on a du mal à sublimer, plus on se tourne vers de la violence comme les romains avec leurs jeux d’arène et nous avec nos séries télé sur leurs jeux d’arène ;-)!
Ouais bof !!
Je n’entends rien de très original, ni de très fouillé
Justement je trouvais cela suspect de sous entendre que l’humanité est en manque de divin comme si cela était une évidence.
Attention, la chroniqueuse ne parle pas de divin mais de sacré. C’est ce qu’a étudié Régis Debray : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9gis_Debray
Très interessant ce Régis Debray. Faudra que tu m’en parles plus la prochaine fois!